La polygynie sororale et le sororat dans la Chine féodale



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(19) Cf. Yi li, gloses traditionnelles du chapitre sur « Les vêtements de deuil », Cf. STEELE, II, p. 19.

(20) Cf. Fêtes et chansons, chanson XL.

(21) Cf. Yi Li, STEELE, II, p. 17.

(22) Le beau père du prince Han, Kouei fou (le père de Kouei, le chef de Kouei), a sa résidence familiale au village (Li) de Kouei. Cf. XXVII, vers 3 et 5.

(23) Cf. Kouo yu « Tsin yu », IV, 4. Cf. les joutes, Fêtes et chansons.

(24) Être chassé d’une famille, perdre la qualité de parent se dit : ne plus prendre sa place aux réunions familiales d’après son âge (m. à m. d’après ses dents). Cf. Li ki, « Yu tsao », COUVREUR, I, 691.

(25) Les frères sont dits n’être qu’un seul et même corps : on les compare aux quatre membres. Cf. Yi Li, STEELE, II, 17.

(26) Cf. HO HIEOU (I b).

(27) Cf. Yi Li, STEELE, II, p. 12 et 19.

(28) Cf. Kouo yu, « Tsin yu », IV, 4. Les ancêtres ne mangent que la cuisine de leurs descendants. Ce n’est que tardivement, et à la suite du développement des relations féodales, que les seigneurs envoyèrent à des princes de nom différent les viandes sacrifiées aux ancêtres par lesquelles se communiquait le Bonheur spécifique d’une race.

(29) Cf. Fêtes et chansons, « Le rythme saisonnier ».

(30) Cf. Kouo yu, « Tcheou yu », II, I. Ce texte montre : 1° qu’il est interdit de se marier dans son propre groupe familial ; 2° qu’il est interdit d’épouser hors du groupe confédéré dont on fait partie (c’est à dire qu’on doit obéir à une double obligation d’exogamie et d endogamie) ; 3° que parmi les possibilités d’union matrimoniale que laissent subsister ces deux premières interdictions, il y a lieu de tenir compte de règles de choix traditionnelles : seules sont heureuses les unions entre des couples de familles traditionnellement définis, par exemple Ki et Ki. Cf. SMT, IV, 466.

(31) Chez les Todas le mariage normal est celui des cousins (issus de frères et de sœurs) (mariage de Matchuni, Cf. RIVERS, p. 512 sqq.) et on le pratique par échange de frères et de sœurs. Cf. ibid., p. 522 et les exemples.

(32) Cf. HO HIEOU (I b).

(33) Yi li, STEELE, II, p. 19.

(34) Voir Fêtes et chansons : « Les lieux saints ».

(35) Voir au Li ki, « Tsi t’ong », COUVREUR, II, 329 sqq le récit de la communion vassalitique qui suit un sacrifice.

(36) Yi li, STEELE, II, p. II.

(37) HO HIEOU (I b).

(38) Yi li, STEELE, II, p. 19. La famille noble est essentiellement agnatique. il en est autrement de la famille plébéienne ; je ferai la preuve (Famille chinoise, chap. VII) (*) que celle ci fut d’abord régie par un système de filiation utérine. À l’époque où elle coexiste avec une famille noble, elle n’a point encore pris le type agnatique : les campagnards, disent les érudits, ne distinguent point entre leur mère et leur père : il est clair que dans le système des communautés-couples de deux familles, les rapports, pour être de nature diverse, ne sont pas moins étroits entre le neveu gendre et le beau père oncle maternel qu’entre le fils et le père. Noter le rôle joué, encore aujourd’hui, surtout dans les familles du peuple, par le beau père et l’oncle : maternel. (*) [L’ouvrage que projetait Granet cous ce titre n’a pas paru : la substance en est passée dans la Civilisation chinoise d’une part, dans les Catégories matrimoniales de l’autre. Mais on a cru devoir conserver les références anticipées qui se trouvent plusieurs fois dans la Polygynie.]

(39) Voir au « Tsi Tong », Li ki, Couv., II, 331 et 341 l’analyse des notions de largesse et de bienfaisance seigneuriales, et de la règle interdisant d’accaparer. Voir Fêtes et chansons : « Le rythme saisonnier ●. »

(40) « Confédération chinoise » est le sens qu’il faut donner à la Chine, souvent traduit par « le royaume » ou « les royaumes du milieu ».

(41) Voir Kouo yu, « Tcheou yu », II, 1.

(42) Cf. SMT, IV, p. 398.

(43) Le seigneur doit être averti du mariage du vassal. Cf. Li ki, COUVREUR, I, 31.

(44) Un fils soumis au pouvoir paternel ne peut s’engager dans une amitié à mort. Cf. Li ki, COUVREUR, I, 14 : C’eût été contraire au principe que le père est l’autorité non seulement suprême, mais unique, tel le Ciel. Le seigneur est aussi le ciel du vassal. Cf. Yi li, gloses aux textes sur « Le deuil pour le père et le seigneur », STEELE, II, p. 11.

(45) Voir par exemple les analyses plus loin citées du Po hou t’ong, chap. « Mariage ».

(46) Kouo yu, « Tcheou yu », 1er et disc.

(47) Cf. III (III j et III k) et V.

(48) Cf. III.

(49) XI.

(50) SMT, IV, p. 68. Un seigneur marié à Lou (nom Ki) se marie encore chez les Jong ; les Jong s’étaient vu affecter, précisément pour régler les alliances matrimoniales, le nom Ki SMT, IV, p. 259 : le duc Hien de Tsin, marié à Ts’i (nom Kiang), épouse en outre deux barbares Ti.

(51) Voir XI et tout au long dans SMT, IV, p. 59 sqq., l’histoire de la succession du duc Houan de Ts’i.

(52) Cf. IV b.

(53) Voir dans le Che king les préfaces des chansons du Tcheou nan et du Chao nan. Voir en particulier dans Fêtes et chansons, , les n° VI, LVI.

(54) Cf. Fêtes et chansons, XXXIX et LVI et les textes groupés dans la présente étude, in XLIV.

(55) Cf. « Sauterelles ailées », Fêtes et chansons, n° VI.

(56) Cf. Fêtes et chansons, « Les joutes ». Voir Kouo yu, « Tsin yu ».

(57) Po hou t’ong, « Mariage ». Cf. IV b.

(58) Les troubles du pays de Lou racontés au début du Tsouo Tchouan proviennent d’un deuxième mariage, conclu contrairement aux règles et pour des raisons exceptionnelles, savoir un prodige. Le duc Houei de Lou, déjà marié à Song (nom Tseu) et ayant de son premier mariage un fils destiné à lui succéder, épouse encore à Song une princesse qui lui donne un autre fils : d’où les troubles qui divisèrent Lou entre les ducs Yin et Houan. On peut voir, d’après les gloses, que la question juridique était délicate : les auteurs chinois hésitent pour savoir lequel des deux ducs était appelé par le droit à prendre le pouvoir.

(59) Cf. Che king, Pei fong, Couv., 40. Nouvelle épousée, expression qui indique une deuxième alliance matrimoniale. Voir encore ibid., 67, et Fêtes et chansons LXVI.

(60) Cf. SMT, IV, 52.

(61) Po hou t’ong, « Mariage ».

(62) Po hou t’ong, « Mariage ».

(63) Voir Li ki, COUVREUR, I, 40, 52.

(64) La vie masculine est réglée par le chiffre 8 : première dentition 8 mois, deuxième 8 ans, puberté 16 ans (8 x 2), fin de la vie sexuelle 70 ans (8 x 8 = arrrondis à 70). Cf. Li ki, « Nei tso », COUVREUR, I, 661, gloses de TCHENG, Chouo wen, et Houang ti Nei King, chap. I.

(65) Cf. Li ki, COUVREUR, I, 315, 316 et 651.

(66) Voir SMT, V, 287, les discussions relatives au mariage du père de Confucius.

(67) Li ki, COUVREUR, I, 418.

(68) Li ki, COUVREUR, I, 606.

(69) Li ki, COUVREUR, II, 197.

(70) Ibid., II, 645 et 325.

(71) Yi li, gloses au chap. du « Deuil », STEELE, II, p. 17.

(72) Cf. Li ki, « Nei tsö » COUVREUR, I, 660. Ce terme arrive quand la femme a 50 ans, le mari 70, c’est à dire au moment où ce dernier prend sa retraite et abandonne le sacerdoce des ancêtres à son successeur.

(73) Che king, COUVREUR, p. 83. Voir Fêtes et chansons, XLIII.

(74) Grâce au rite. Cf. Li ki, COUVREUR, I, 132, 60, 767 et 769.

(75) Cf. Li ki, COUVREUR, I, 18. Voir GRANET, Coutumes matrimoniales in T’oung pao, XIII, p. 521 et Fêtes et chansons, I, XXII.

(76) On voudra bien admettre provisoirement l’explication que j’indique ici à grands traits : elle sera justifiée dans La famille chinoise des temps féodaux.

(77) C’est à dire que l’époux et l’épouse aient reçu en même temps le bonnet viril et l’épingle de tête, signes de la majorité.

(78) Qualifiées d’unions sauvages. Voir SMT, V, 287, les notes de M. CHAVANNES sur le mariage du père de Confucius.

(79) Voir P. HOANG, Le mariage chinois, p. 69 (note) et rapprocher les développements consacrés à l’ordre dans le Li ki, COUVREUR, I, 779-780 et dans la glose au chapitre du « Deuil » du Yi li, STEELE, II, p. 29.

(80) Il les épouse toutes ensemble et par un contrat unique : de même, s’il les répudie, c’est aussi toutes à la fois. Voir X : Un mari répudie par politique toutes les femmes épousées dans un premier mariage, bien qu’il ait de l’amour pour la cadette de la première épouse ; par politique encore, il se remarie, puis, par amour, reprend la cadette : il est alors accusé de bigamie.

(81) De petits détails rituels et l’ordre des actes de la cérémonie indiquent seuls que le mari a la préséance. Voir Yi li, « Mariage », et Li ki, « Houen yi ».

(82) Cf. XXXVII.

(83) Li ki, COUVREUR, I, 668, 670.

(84) Fêtes et chansons, LXVII. Cf. les textes rassemblés au n° XLIV, part. XLIV, b.

(85) Yi li, « Mariage » ; rapprocher l’octroi de cette coupe de liqueur d’un geste rituel identique fait par le père à la cérémonie de majorité de son fils. Cf. Yi li, « Majorité » et Li ki, Kouan yi ».

(86) Cf. Fêtes et chansons, n° LVI.

(87) Femme qui succède dans la chambre conjugale : comparer les expressions modernes employées pour désigner la femme épousée en secondes noces. Cf. note 8. Une des explications données par les Chinois de l’interdiction des secondes noces est qu’elle est fondée sur le droit des suivantes à suppléer leur aînée : on ne se remarie pas, pour ouvrir un chemin, un avenir, aux suivantes.

(88) Cf. plus haut.

(89) Cf. I a.

(90) Cf. I. Le Tch’ouen Ts’ieou s’abstient d’indiquer l’accession au pouvoir pour Yin, prince de Lou ; Houan, considéré comme fils principal, premier-né (Yin n’étant l’aîné que par l’âge) est censé régner : Yin gouverne pour le compte de Houan.

(91) Le Po hou t’ong indique les deux traditions. HO HIEOU (Cf. III k) affirme que le Fils du Ciel et lui seul prenait douze femmes.. Cette deuxième version est la seule qui rende compréhensible l’histoire de Po Ki, fille de Lou, qui, allant comme épouse chez un seigneur, emmena avec elle onze suivantes. Il est vraisemblable que les Fils du Ciel, après s’être contentés du statut matrimonial des seigneurs régnants, voulurent se distinguer et firent passer le nombre de leurs épouses de neuf, chiffre terrestre, à douze, chiffre céleste.

(92) SMT, IV, 289.

(93) XI.

(94) XXIII.

(95) III, III g, III k.

(96) XXVI et XXXVII.

(97) Dans le cas des Nobles du dernier rang.

(98) Po hou t’ong, « Mariage ».

(99) Neuf est, dans l’ordre Yang, le symbole de la totalité. Cf. IV b.

(100) Po hou t’ong, « Mariage ».

(101) Cf. XXIV, n. 3.

(102) Quatre pour le Fils du Ciel dans le cas où l’on admet la version qu’il recevait douze femmes : quatre est aussi un signe du tout.

L’on peut dire que 3 x 3 égale en valeur symbolique 3 x 4 ; l’histoire de Chine hésite souvent entre les nombres 9 et 12. Il y a des chances que le Fils du Ciel ait d’abord épousé 9 filles venues de 3 États ; puis il parut bon de le distinguer des seigneurs ordinaires, et on lui attribua comme nombre un nombre qui fut, comme l’autre, un signe de totalité, mais d’un ordre plus élevé.

(103) Po hou t’ong, « Mariage ». Un grand officier n’obtient pas un lot complet de suivantes parce qu’un vassal, n’étant pas souverain, n’a point assez de dignité pour épuiser à son profit toute une parenté.

(104) On l’emploie pour les seigneurs et grands officiers dans la cérémonie de la délivrance définitive des épouses„ faite par leur famille trois mois après les noces. Voir Li ki, Kiu li, II, 3. Dans le mariage noble on le retrouve employé dans la formule solennelle du rite des fiançailles appelé « la demande du nom ». Cf. Yi li, mémoires annexes au chap. du « Mariage », STEELE, I, p. 37 (La traduction donnée par STEELE de ce passage est incompréhensible.).

(105) Voir Li ki, COUVREUR, I, 493, 458 ; II, 318, 322. Cf. XXX, vers 12.

(106) Cf. XXX et XXVII b.

(107) Voir XXIV.

(108) Il est très curieux de retrouver dans l’histoire du duc Wang, pour signifier réaccaparement total, ce terme qui désigne la prestation symboliquement complète de l’alliance matrimoniale. Ce rapprochement de termes fait sentir l’embarras du droit féodal : d’une part, les groupements des familles reposaient sur des alliances qui étaient traditionnelles et qui avaient, par cela même, un caractère d’absolue obligation ; les alliés devaient mutuellement se confier toutes les garanties possibles. D’autre part, le besoin d’accroître ce prestige nécessaire au pouvoir féodal par des alliances nouvelles faisait désirer qu’il restât dans les systèmes d’alliance une possibilité de jeu.

(109) En revanche, les Nobles possèdent le droit de contracter des mariages successifs. Voir plus haut. Les Nobles épousent d’ordinaire deux sœurs, mais ils peuvent aussi bien, sous l’influence des usages seigneuriaux, épouser une femme et sa nièce.

(110) Un seigneur ne se marie qu’une fois.

(111) Cet avantage d’être par avance lié avec le successeur éventuel du chef de la famille à laquelle on s’unit, fut certainement très vivement senti. Il y eut en effet une tendance (Cf. I b) à faire passer la nièce avant la cadette ; cette tendance est d’ailleurs conforme aux principes de la parenté féodale, où la succession se fait par lignée tandis que dans le système populaire et ancien, il y a succession seulement quand la génération la plus ancienne, dont les membres se suppléent l’un après l’autre, est épuisée. Les grands officiers, dont le pouvoir, bien que précaire en théorie, était pratiquement héréditaire, eurent aussi droit à une nièce : pour eux comme pour les seigneurs, l’importance prise par l’idée de race amenait au premier plan le souci du futur.

(112) Cf. II.

(113) II. Chou Ki, cadette de Po Ki.   IV. Cadette de Hou Ki.   VII. Chou Kiang, cadette de Ngai Kiang.   VIII. Cheng Sseu, cadette de Tai Sseu.   IX. Ts’i Kouei, cadette de King Kouei.   XI. Wei Ki, aînée et cadette.   XV, XVII.

(114) STEELE, I, p. 23 sqq. et XXXI à XL.

(115) Hexagramme.

(116) XXVII, vers 9.

(117) XIX.

(118) XXI.

(119) XXIV.

(120) XXII a.

(121) Cf. Yi li, STEELE, II, p. 29.

(122) Li ki, COUVREUR, I, 162. Cf. Ibid., II, 551.

(123) Cf. B.E.F.E.O., VIII, p. 376.

(124) Cf. SMT, IV, 289. Tch’ong-eul épouse, après hésitation (Voir Kouo yu, « Tsin yu », 8e d.), la femme abandonnée de son neveu Yu. De même n° X.

(125) XXI, cas double, polygynie sororale et lévirat.

(126) P. HOANG, Mariage chinois, p. 59. Le lévirat est d’un usage constant dans les tribus du Haut Tonkin qui ont tant de parenté avec les Chinois. Cf. B. E. F. E. O., VIII, 362 (note de M. BONIFACY). Chez les Lolo où il est permis de se marier avec les sœurs de sa femme, le lévirat se pratique aussi, ibid., p. 566. Chez les aborigènes du Kamtchatka, l’usage de la polygynie sororale est complété par celui du sororat et du lévirat. Chez les Koryaks du N.-E. de l’Asie, la polygynie sororale est interdite, mais le sororat et le lévirat sont obligatoires. Cf. FRAZER, Totemism and exogamy, IV, 147.

(127) Li ki, COUVREUR, I, 29.

(128) Ibid., II, 188.

(129) Voir p. 5-6. Voir Frazer, Totemism, IV, 148, une interdiction analogue, dans l’archipel de la Louisiane, où se pratique le sororat.

(130) Comp. HOWITT, The native Tribes of South East Australia, p. 192 : (tribu des Kurnandaburi où existe le mariage entre un groupe de frères et un groupe de sœurs) « en somme, la sœur de sa femme et la femme de son frère ne peuvent habiter dans le même camp et converser librement ; mais il existe entre eux, en secret, des relations maritales ». L’inceste secret du beau-frère et de la belle sœur passe pour être fréquent en Chine.

(131) Le petit nombre de témoignages ne doit pas étonner. On peut se convaincre en lisant le catalogue dressé par FRAZER, des faits de sororat (Totemism and Exogamy, p. 139 à 149 du t. IV) que, lorsque celui ci est pratiqué, le lévirat est le plus souvent interdit ou inversement.

(132) Le Yi li, chapitre du « Deuil », donne à ce mot le sens de belle sœur cadette ; le Che king, XXVII, 9, lui donne le sens de suivante. Le Yi li, « Mariage », le sens de sœur cadette servant de suivante.

(133) Voir plus haut.

(134) HOWITT, op. c., p. 181 sqq. Tribus Urabunna, Dieri, Kurnandaburi.

(135) Sur les mêmes faits voir SPENCER and GILLEN, The native Tribes of Central Australia, 62 sqq. et 559.

(136) RIVERS, The Todas, p. 503 512.

(137) Cf. XXXIII.

(138) XL.

(139) Cf. XXXIII a.

(140) Cf. XXXIII et XXXIII a.

(141) Cf. XXXIII.

(142) Cf. XXXIV.

(143) Cf. XXXVI.

(144) Cf. XXXV.

(145) B. E. F. E. O., VIII, 546.

(146) Ibid., 545.

(147) Cf. B. E. F. E. O., VII, 278 sqq.

(148) Cf. XXXVII.

(149) Cf. XL.

(150) Cf. XXXII.

(151) Fêtes et chansons, XII, XXXVI, XXXV, XLI, L, 7, LVIII, 13 14, LX, 1 2 et 26 sqq.

(152) Ibid., LXVI.

(153) Ibid., LXI, 26 sqq.

(154) Ibid., XLI, int.

(155) Trois, succédané de la totalité.

(156) Le mot qui signifie cocher, conduire en char est le même qu’on emploie pour exprimer les rapports sexuels. Étant donné l’état des études étymologiques en chinois, je me borne à noter le fait, sans essayer d’en rien conclure. On notera que, seule, la suivante attend à la porte de la chambre nuptiale, XXXVIII ; le cocher n’est point mentionné : mais les glossateurs ont l’air de croire qu’il reste auprès d’elle. S’il n’en était pas ainsi, ce serait le seul moment des cérémonies où la symétrie n’est pas conservée : au dernier moment, il se révèle que le cocher n’est qu’un figurant.

(157) Voir un ensemble de faits symétriques dans Reports of the Cambridge Anthropological Expedition to Torres Straits, p. 237 et 241 sqq.

(158) Cf. XIX et Li ki, I, 226.

(159) Cas de Chou Ki, cf. II.

(160) Cf. III j.

(161) Cf. III d.

(162) Cf : III.

(163) Cf. XXVIII et XXIX.

(164) Je ne puis qu’indiquer ici un fait de haute importance : l’unité de la partie féminine de la famille s’oppose à une espèce de dualité qui divise les parents mâles, les agnats, en deux groupes (voir ce qui a été dit plus haut de l’ordonnance du temple ancestral). Ce fait sociologique doit être rapproché d’un autre : il semble qu’anciennement la succession au pouvoir se soit faite par le mariage. Chouen épousa les filles de Yao, puis lui succéda. Ce sont des femmes, K’ai yuan, Kien Ti qui sont à l’origine des dynasties. La parenté fut d’abord utérine. Il semble que l’unité familiale ait été surtout représentée par la dynastie que formaient les maîtresses de maison : les mères s’efforçaient toujours de marier leur fils dans leur famille natale.

(165) Voir Che king, Commentaires des pièces du Tcheou nan.

(166) Cf. STEELE, II, p. 37.

(167) Cf. STEELE, II, pp. 35 et 39.

(168) Po hou t’ong, « Mariage ».

(169) Par ex. XII.

(170) Un ethnographe chinois note un fait symétrique : chez les Kou Tsong, qui pratiquent la polyandrie, les enfants sont communs à tous les maris. B. E. F. E.-O., VIII, 373.

(171) Cf. XII. Voir l’histoire tout au long, dans SMT, IV, 68.

(172) Les frères, mariés à une même épouse, chez les Kou Tsong, ne se querellent ni se battent. B. E. F. E. O., VIII, 373.

(173) Po hou t’ong,. Mariage.

(174) Cf. XLIV.

(175) Voir Fêtes et chansons, LXVII.

(176) Voir Fêtes et chansons, commentaires du n° XXXIX..

(177) C’est par l’intermédiaire de l’épouse principale que Wou Kouang introduit sa fille auprès du roi Wou Ling. Cf. XX.



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