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de la fusion des forces armées canadiennes – Considérations sur cet exemple – Les différents
interlocuteurs en France du chef de poste – Problème du décalage horaire.
Bande 2 – Face 1
Première visite des ministres de la Défense des deux pays en 1981 – Échec de la mission
Matra au Canada – Raisons des échecs répétés d’industriels français au Canada – Le
« triangle » Paris-Ottawa-Québec – Jean Beliard et Jean-Pierre Cabouat, ambassadeurs de
France au Canada – Caractéristiques du pays en matière de défense – Importance du budget
social ; la garantie militaire américaine – Soin des Canadiens apporté à leur image en
Allemagne – Rôle particulier dans les organisations de maintien de la paix – Proportions
respectives de francophones et d’anglophones dans les forces canadiennes – Importance du
respect des deux communautés ; obligations mondaines du poste – Voyages et visites ; qualité
des officiers de la marine – Le conflit des pêches à Saint-Pierre-et-Miquelon – Survol du
Canada par des avions français transportant des gendarmes vers la Nouvelle-Calédonie – Une
quarantaine d’attachés de l’Air dans le monde ; la gestion de ces postes – Difficulté de la
gestion des attachés militaires – L’exemple allemand.
Face 2
Conditions pour réussir dans le poste d’attaché militaire – Goût pour le pays d’affectation –
Réflexions à l’intérieur de l’ambassade – Sensibilisation des ambassadeurs aux questions
militaires – Rôle prééminent du premier conseiller – Moyens d’intéresser les diplomates aux
affaires militaires – Le cabinet du chef d’état-major de l’armée de l’Air – Circonstances de sa
nomination par le général Saint-Cricq – Organigramme du cabinet – Première fonction du
« bureau moral » ; le suivi du moral du personnel – Deuxième fonction : comptes rendus sur
les affaires délicates – Troisième fonction : rédaction de discours – L’ampleur des moyens ;
l’obligation de résultats – Exigences inconciliables du poste – Suivi du moral : le rôle du
« président des présidents » – Une tâche ingrate : le suivi des affaires – Incompatibilité de la
fonction de rédaction de discours avec les deux précédentes – Les deux types de discours.
Bande 3 – Face 1 (Entretien du 13 novembre 1992)
Anecdotes : un discours du président Giscard d’Estaing au Brésil ; un discours du général
Saint-Cricq devant le panel de médecine de l’AGARD – Exigences du général Saint-Cricq à
l’égard de ses collaborateurs – L’ambiance au sein du cabinet : Saint-Cricq et Pessidous –
Circonstances du choix du général Pessidous comme chef de cabinet – Mauvaises relations
avec Pessidous – Capacité de travail du général Saint-Cricq ; son caractère – Considérations
sur l’influence du pouvoir sur le caractère – Réticence du général Guy Fleury face aux
relations publiques – Le physique du général Fleury – Exemples de maladresses linguistiques
– Andrée Silva, dactylo du CEMAA pendant 34 ans – Jacques Masse, huissier.
Face 2 (Entretien du 17 novembre 1992)
Le témoin nommé chef du SIRPA ; problèmes posés par ce poste – Son expérience dans le
domaine des relations publiques – Le vie de commandant de la base de Doullens – Le chef du
SIRPA Air et ses relations – Bonne entente avec le personnel du service – Relations avec
l’état-major et les grands commandements – Les correspondants du SIRPA Air – L’image de
l’armée de l’Air en concurrence avec celle des autres armées – Altération de l’image de
l’armée de l’Air ; les accidents aériens – Le budget du SIRPA ; les recettes interdites – Le
rythme de travail – L’accident dramatique de Ramstein – Les relations publiques et la
patrouille de France.
Bande 4 – Face 1
La presse et le SIRPA ; relations avec l’AFP – Le rapport de force entre le journaliste et le
militaire – Les journalistes et le choix de leur sujet – Organisation du SIRPA central et du
SIRPA Air – Le général Germanos au SIRPA – La politique de la revue Air Actualités –
Financement du journal – Problèmes du journal – Possibilités de diffusion – Manque de
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motivation des gens de l’armée de l’Air – Bilan de sa carrière : variété des postes en tant
qu’officier des bases – L’École de guerre.
Face 2
L’École de guerre – Originalité du parcours du témoin – Le corps des officiers des bases –
Compétition avec le personnel navigant – Les personnalités marquantes : le colonel Marill –
Le général Fabre-dit-Garrus – Le général Delmer et le général Saint-Cricq – Le général
Pessidous.
Bande 5 – Face 1 (Entretien du 11 décembre 1992)
Compléments apportés aux entretiens précédents – Le colonel Wirth, premier attaché de l’Air
à Bonn – Choix du 11 novembre pour commémorer l’Armistice de 1918 – Départ de l’armée
de l’Air du colonel Wirth ; installation à Cologne – Un as de guerre allemand, Bubi dit
Hartmann – Au sujet du Québec : la population et le rôle du clergé – Attitude des Français
vis-à-vis du Québec – Rapport d’un consul de France au Québec – Reproches des Québécois
aux Français – Menace de sécession avec l’OTAN – Le triangle Québec-Ottawa-Paris –
L’attitude des industriels français – La souveraineté du Canada : le passage du nord-ouest – A
propos du SIRPA : le triangle, chef du SIRPA, chef d’état-major et chef de cabinet du
CEMAA – Sous le commandement de Saint-Cricq, tous les pilotes deviennent officiers –
Anecdote survenue en décembre 1978 – A propos de la conférence du général Lanata : le
congé du personnel navigant – Recrutement de littéraires à l’École de l’air – Les femmes dans
le corps des officiers – Les commissaires et leur déroulement de carrière ; leurs particularités
– Les généraux qui ont compté dans sa carrière : de Serre de Saint-Roman, Ortolo, Capillon et
Lerche.
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